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Murmures des Vents

6 septembre 2010

Hello..voici mon salon de voyance

NOUVEAUX HORAIRES :

11H A 12H

ET

15H A 17 H


Hello,  voici mon salon de voyance :

je consulte, en effet, en voyance sur ce numéro

nouveaux horaires :

11H A 12H
ET 15H A 17H

pour ce numéro

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Mais aussi sur le site esopole.com


pour me contacter immédiatement par audiotel,... (lorsque j'y consulte)

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Retrouvez mon site de voyance :

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et aussi mon forum de voyance

où vous pouvez vous inscrire:  cliquez sur l'image ci-dessous pour vous y rendre

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N'hésitez pas à faire passer les numéros audiotel
aux personnes interessées
qui aimeraient "consulter"
en voyance

 

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1 septembre 2010

LANA REPREND SES COURS

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BONNE RENTREE SCOLAIRE A NEW YORK
LANA

ET BONNE RENTREE A
LILOU ET MAYOR
A
BARCARES

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27 août 2010

HELLO MIMI

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HELLO MIMI

Super heureuse de te "voir" aujourd'hui
Barcares , la mer et toi
vous me manquez
Je suis vraiment heureuse d'avoir fait ta connaissance
le "hasard" de la vie
des chemins et des destins qui se croisent....
Tu m'as apporté une réelle amitié
et de cela je te remercie vraiment

Je te fais un gros bisou ainsi qu'à LILOU et MAYOR

quelques belles images


CMAGNETIC003





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zb7bworz

23 juillet 2010

Film "ANGELIQUE"

  Je commence ce vendredi hyper "pluvieux"

par la lettre tiré du film "ANGELIQUE ET LE ROY" vu (re re re vu) hier
et que j'aime toujours autant

un Robert HOSSEIN si sensuel et une Angélique bien "chanseuse" malgré tout!
l'avez vous remarqué, bien que "parfois" violée", elle ne "tombe" que sur des
hommes superyou canons!!!!
ah l'amour au temps du Roy, l'amour à Versailles....


""Mon amour, j'étais venue te regarder dormir, seulement te regarder sans que toi tu ne me vois...Le destin qui s'acharne contre nous a voulu que nous nous apercevions l'un l'autre. Si j'ai fui, si je n'ai pas voulu te parler, c'est qu'il eut suffi d'un mot pour éveiller tant de choses, or il ne fallait pas. Tu dois vivre ta vie au grand jour et la mienne est désormais vouée aux ténèbres. Je n'ai plus rien offrir et pour toi je veux tout. Oublie moi. Bientôt peut être un nouveau destin se présentera à toi, ne le refuse pas je t'en supplie, reste vivante pour nous, pour nos enfants. J'emporte avec moi un coin d'éternité, celui de ton sourire au milieu du sommeil"

angelique_marquise_des_anges_1964_reference







angelique_image_jpg

20 juillet 2010

HELLO LANA

blinkiebonnejournee3ET      .......BIENLANA2

J'espére que ce petit blog, à "trois mains" maintenant ...te plaira
ta catégorie y est ajoutée, donc qd tu postes n'oublies pas d'indiquer dans quelle catégorie
et une fois membre, tu peux poster articles, photos etc
j'ai crée un désign original pour nous distinguer un peu des autres
bizzzzz

b3w471kr

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6 juillet 2010

Hello Mimi

  Comment vas tu?
et ton premier jour, hier, de travail ?
Comment cela s'est il passé?

Aujourd'hui, ordi ce matin, plus marche jusqu'à la poste
peut etre plage vers 10h
mais beaucoup de vent encore, je trouve

Hier soir, j'ai regardé la nouvelle série "CASTLE" SUR LA 2
pas mal du tout, assez "sympa"

bisou salé et bonne journée

as tu eu le temps d'aller sur SKYPE,
9f34ljw5

Danny-Isis


4 juillet 2010

4 JUILLET aux USA

INDEPENDANCE DAY


4 JUILLET AUX USA

La
Déclaration d'indépendance est un texte politique par lequel les Treize Colonies britanniques d'Amérique du Nord ont fait sécession du Royaume-Uni, le 4 juillet 1776. Ce texte est marqué par l'influence de la philosophie des Lumières et tire également les conséquences de la Glorieuse Révolution de 1688 : d'après les abus constatés, les délégués des colons estiment qu'ils ont le droit et le devoir de se révolter contre la monarchie britannique (en fait, le parlement britannique qui a voté les lourds impôts et taxes frappant les colonies). Depuis, le 4 juillet est devenu la fête nationale des États-Unis : l'Independence Day (jour de l'Indépendance en anglais).

La déclaration d'indépendance est une étape majeure dans l'histoire des relations anglo-américaines : après une série de crises entre la métropole et les colonies, principalement sur les questions de taxation des produits, le texte proclame la naissance d'une nouvelle nation et représente un acte révolutionnaire.

En janvier 1776, Thomas Paine prend parti pour les insurgents américains dans son Sens commun (1776) qui remporte un vif succès (environ 500 000 exemplaires vendus[1]). Son livre est un plaidoyer pour la rupture avec la Grande-Bretagne et aurait inspiré George Washington. En effet, dans ce petit livre, il estime ridicule qu'un pays si petit que la Grande-Bretagne gouverne et impose des lois à l'immense et lointaine Amérique.

Le 12 juin 1776, la Virginie se dote d'une Déclaration des droits (Virginia Declaration of Rights). Le Second Congrès continental, composé de délégués des treize colonies réunis à Philadelphie, décide de rédiger la Déclaration d'indépendance. Le projet est confié à un comité de cinq représentants (Committee of Five : John Adams, Roger Sherman, Benjamin Franklin, Robert Livingston et Thomas Jefferson). Mais c'est finalement Thomas Jefferson qui élabore une ébauche[2]. Il devient de fait le principal auteur du texte. Il finit son travail le 21 juin 1776 et le soumet au comité qui fait quelques modifications. La déclaration est encore amendée au cours des débats du Congrès : les passages sur la traite et l'esclavage sont supprimés, afin de ne pas mécontenter les régions du Sud[3]. Le document définitif, écrit sur du parchemin, est approuvé et signé le 4 juillet par 56 délégués réunis à l'Independence Hall[4]. La Déclaration est ensuite envoyée à l’imprimerie pour être largement diffusée. La nouvelle de la Déclaration d’indépendance prit le même temps (soit 29 jours) pour aller de Philadelphie à Charleston que de Philadelphie à Paris[5].


La Déclaration unanime des treize États unis d'Amérique réunis en Congrès le 4 juillet 1776 à Philadelphie :


Fac-similé de la Déclaration d'indépendance américaine avec les portraits des signataires.

« Lorsque dans le cours des événements humains, il devient nécessaire pour un peuple de dissoudre les liens politiques qui l'ont attaché à un autre et de prendre, parmi les puissances de la Terre, la place séparée et égale à laquelle les lois de la nature et du Dieu de la nature lui donnent droit, le respect dû à l'opinion de l'humanité oblige à déclarer les causes qui le déterminent à la séparation.

Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux ; ils sont doués par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. Les gouvernements sont établis parmi les hommes pour garantir ces droits, et leur juste pouvoir émane du consentement des gouvernés. Toutes les fois qu'une forme de gouvernement devient destructive de ce but, le peuple a le droit de la changer ou de l'abolir et d'établir un nouveau gouvernement, en le fondant sur les principes et en l'organisant en la forme qui lui paraîtront les plus propres à lui donner la sûreté et le bonheur. La prudence enseigne, à la vérité, que les gouvernements établis depuis longtemps ne doivent pas être changés pour des causes légères et passagères, et l'expérience de tous les temps a montré, en effet, que les hommes sont plus disposés à tolérer des maux supportables qu'à se faire justice à eux-mêmes en abolissant les formes auxquelles ils sont accoutumés. Mais lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur droit, il est de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à leur sécurité future. Telle a été la patience de ces Colonies, et telle est aujourd'hui la nécessité qui les force à changer leurs anciens systèmes de gouvernement. L'histoire du roi actuel de Grande-Bretagne est l'histoire d'une série d'injustices et d'usurpations répétées, qui toutes avaient pour but direct l'établissement d'une tyrannie absolue sur ces États. Pour le prouver, soumettons les faits au monde impartial :

Il a refusé sa sanction aux lois les plus salutaires et les plus nécessaires au bien public. Il a défendu à ses gouverneurs de consentir à des lois d'une importance immédiate et urgente, à moins que leur mise en vigueur ne fût suspendue jusqu'à l'obtention de sa sanction, et des lois ainsi suspendues, il a absolument négligé d'y donner attention.

Il a refusé de sanctionner d'autres lois pour l'organisation de grands districts, à moins que le peuple de ces districts n'abandonnât le droit d'être représenté dans la législature, droit inestimable pour un peuple, qui n'est redoutable qu'aux tyrans.

Il a convoqué des Assemblées législatives dans des lieux inusités, incommodes et éloignés des dépôts de leurs registres publics, dans la seule vue d'obtenir d'elles, par la fatigue, leur adhésion à ses mesures. À diverses reprises, il a dissous des Chambres de représentants parce qu'elles s'opposaient avec une mâle fermeté à ses empiètements sur les droits du peuple. Après ces dissolutions, il a refusé pendant longtemps de faire élire d'autres Chambres de représentants, et le pouvoir législatif, qui n'est pas susceptible d'anéantissement, est ainsi retourné au peuple tout entier pour être exercé par lui, l'État restant, dans l'intervalle, exposé à tous les dangers d'invasions du dehors et de convulsions au-dedans.


Philadelphie, Independence Hall, le bâtiment où fut signée la déclaration d'indépendance américaine en 1776.

Il a cherché à mettre obstacle à l'accroissement de la population de ces États. Dans ce but, il a mis empêchement à l'exécution des lois pour la naturalisation des étrangers ; il a refusé d'en rendre d'autres pour encourager leur émigration dans ces contrées, et il a élevé les conditions pour les nouvelles acquisitions de terres. Il a entravé l'administration de la justice en refusant sa sanction à des lois pour l'établissement de pouvoirs judiciaires. Il a rendu les juges dépendants de sa seule volonté, pour la durée de leurs offices et pour le taux et le paiement de leurs appointements.

Il a créé une multitude d'emplois et envoyé dans ce pays des essaims de nouveaux employés pour vexer notre peuple et dévorer sa substance. Il a entretenu parmi nous, en temps de paix, des armées permanentes sans le consentement de nos législatures. Il a affecté de rendre le pouvoir militaire indépendant de l'autorité civile et même supérieur à elle. Il s'est coalisé avec d'autres pour nous soumettre à une juridiction étrangère à nos Constitutions et non reconnue par nos lois, en donnant sa sanction à des actes de prétendue législation ayant pour objet : de mettre en quartier parmi nous de gros corps de troupes armées ; de les protéger par une procédure illusoire contre le châtiment des meurtres qu'ils auraient commis sur la personne des habitants de ces provinces ; de détruire notre commerce avec toutes les parties du monde ; de nous imposer des taxes sans notre consentement ; de nous priver dans plusieurs cas du bénéfice de la procédure par jurés ; de nous transporter au-delà des mers pour être jugés à raison de prétendus délits ; d'abolir dans une province voisine le système libéral des lois anglaises, d'y établir un gouvernement arbitraire et de reculer ses limites, afin de faire à la fois de cette province un exemple et un instrument propre à introduire le même gouvernement absolu dans ces Colonies ; de retirer nos chartes, d'abolir nos lois les plus précieuses et d'altérer dans leur essence les formes de nos gouvernements ; de suspendre nos propres législatures et de se déclarer lui-même investi du pouvoir de faire des lois obligatoires pour nous dans tous les cas quelconques.

Il a abdiqué le gouvernement de notre pays, en nous déclarant hors de sa protection et en nous faisant la guerre. Il a pillé nos mers, ravagé nos côtes, brûlé nos villes et massacré nos concitoyens. En ce moment même, il transporte de grandes armées de mercenaires étrangers pour accomplir l'œuvre de mort, de désolation et de tyrannie qui a été commencée avec des circonstances de cruauté et de perfidie dont on aurait peine à trouver des exemples dans les siècles les plus barbares, et qui sont tout à fait indignes du chef d'une nation civilisée. Il a excité parmi nous l'insurrection domestique, et il a cherché à attirer sur les habitants de nos frontières les Indiens, ces sauvages sans pitié, dont la manière bien connue de faire la guerre est de tout massacrer, sans distinction d'âge, de sexe ni de condition. Dans tout le cours de ces oppressions, nous avons demandé justice dans les termes les plus humbles ; nos pétitions répétées n'ont reçu pour réponse que des injustices répétées. Un prince dont le caractère est ainsi marqué par les actions qui peuvent signaler un tyran est impropre à gouverner un peuple libre.

Nous n'avons pas non plus manqué d'égards envers nos frères de la Grande-Bretagne. Nous les avons de temps en temps avertis des tentatives faites par leur législature pour étendre sur nous une injuste juridiction. Nous leur avons rappelé les circonstances de notre émigration et de notre établissement dans ces contrées. Nous avons fait appel à leur justice et à leur magnanimité naturelle, et nous les avons conjurés, au nom des liens d'une commune origine, de désavouer ces usurpations qui devaient inévitablement interrompre notre liaison et nos bons rapports. Eux aussi ont été sourds à la voix de la raison et de la consanguinité. Nous devons donc nous rendre à la nécessité qui commande notre séparation et les regarder, de même que le reste de l'humanité, comme des ennemis dans la guerre et des amis dans la paix.

Textes fondateurs
des États-Unis
Déclaration d'indépendance
Articles de la Confédération
Constitution
Déclaration des Droits
(1776)
(1777)
(1787)
(1789)

En conséquence, nous, les représentants des États-Unis d'Amérique, assemblés en Congrès général, prenant à témoin le Juge suprême de l'univers de la droiture de nos intentions, publions et déclarons solennellement au nom et par l'autorité du bon peuple de ces Colonies, que ces Colonies unies sont et ont le droit d'être des États libres et indépendants ; qu'elles sont dégagées de toute obéissance envers la Couronne de la Grande-Bretagne ; que tout lien politique entre elles et l'État de la Grande-Bretagne est et doit être entièrement dissous ; que, comme les États libres et indépendants, elles ont pleine autorité de faire la guerre, de conclure la paix, de contracter des alliances, de réglementer le commerce et de faire tous autres actes ou choses que les États indépendants ont droit de faire ; et pleins d'une ferme confiance dans la protection de la divine Providence, nous engageons mutuellement au soutien de cette Déclaration, nos vies, nos fortunes et notre bien le plus sacré, l'honneur. »

(Traduction de Thomas Jefferson)

ARTICLE WIKIPEDIA

4 juillet 2010

bon dimanche

petite création de ce matin
bonjour Mimi-Vénus


murmures - diaporama photos

3 juillet 2010

bon weekend

Bonjour Mimi-Vénus

 

Bonjours aux visiteurs de ce blog et bon weekend à toutes et tous

2 juillet 2010

PAS Terrible le temps

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pas top le temps de matin
Bonjour Mimi-Vénus
j'ai fait ma marche de 6h30 à 7h30
vu le temps, j'aurai pu la faire plus tard
mais ça me permet de pianoter sur internet aprés...

Bisous salés

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